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 [mission de rang E] une ombre plane...

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Saigai Seisakusha
Modo / Mage de Rang E
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Saigai Seisakusha


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Date d'inscription : 18/12/2013
Age : 28
Localisation : Surement en ville, en train de tuer quelqu'un. Cherchez dans les petites ruelles...
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[mission de rang E] une ombre plane... Vide
MessageSujet: [mission de rang E] une ombre plane...   [mission de rang E] une ombre plane... Icon_minitimeJeu 23 Jan - 18:15

Ahhh...

Encore une belle et sanglante journée qui commence!

Je me levait de bon poil ce matin! En ce moment, je ne comprenais pas pourquoi, mais lorsque je me levais, j'étais heureux.

C'était la première mission que j'allais débuter depuis que j'étais rentrée dans la guilde, et je frétillais d'impatience à l'idée de faire mal à un inconnu.

J'alla donc m'habiller, me prépara, pris mon sabre, et mangea un petit déjeuner frugal. J'en profita ensuite pour aller faire mon entrainement matinal, car je m'imposais une certaine discipline: autrement, je ne serais pas toujours apte au sprint...

Je commença donc par une demi-heure de course à pied, suivi d'une virée en ville où je vola deux pommes, un poignard que je mis dans ma ceinture, et trois ou quatre bracelets que je plaça discrètement chez les clients des magasins respectifs pour leur créer des problèmes. On ne peut entretenir ses capacités de voleur qu'en pratiquant...

Après ce petit échauffement, je m'entraina avec mon sabre, tout d'abord en assénant des coup verticaux et horizontaux sur place, puis des coups plus variés ensuite, et enfin le tout en mouvement. Je termina mon entrainement une bonne heure plus tard, et en profita pour me laver un peu.

C'était quand même le deuxième bain que je prenais en moins d'une semaine...

Ayant fini ma matinée, je me rhabilla et trouva une lettre sur mes vêtements lavés: le maitre me convoquait pour ma première mission.

C'était décidément une bien belle journée!

Je me dirigea donc vers le bureau du maitre, entra sans frapper et frôla la mort pour cela. Un intense rayon lumineux me passa juste à côté de mon oreille gauche, et j'avais senti qu'il avait volontairement raté son tir. Il ne m'en fallait pas plus pour comprendre qu'on frappait avant d'entrer dans le bureau du maitre.

Il me tendit un bout de papier qu'il avait griffonné en vitesse, et me dit:

Otani manji: "le regard sévère" tiens. Je t'ai appelé pour que tu t'occupes de ça. Par contre ne t'avise plus jamais de faire ce genre de choses, sinon c'est par morceaux que tu retourneras dans ta chambre. Maintenant dégage.

Je m'exécuta sans ouvrir la bouche.

Une fois dehors, je commença à lire son papier, et même si son écriture laissait à désirer, je ne pouvais pas me tromper: c'était une mission.

L'intitulé disait que certains membres qui avaient trop bu s'étaient fait tabasser et tuer par d'autres gars costauds mais non mages. Le maitre, qui manifestement n'avait pas apprécié qu'on se fiche de Blood legacy comme ca, m'a donc chargé de retrouver les troubles-fêtes, de leur faire cracher le morceau, puis de les éliminer si possible, bien qu'ils savent se défendre.

Je prenais la mission comme un nouveau test pour évaluer mon niveau: je n'allait pas trainer, je comptais faire ça vite et bien.

Pliant soigneusement la feuille sur laquelle était noté mon but, je m'aventura hors de la guilde, l'épée au côté.

Autant dire avec l'envie de faire un meurtre.

Je savais que les mecs qui avaient jeté la honte sur ma guilde trainait souvent dans un bar tout au nord de la ville, et je savais aussi que c'était par là qu'on avait retrouvé les deux corps froids.

Je prenais donc la direction du nord avec pour objectif de trouver qui les avaient tabassés puis achevés.

Je passa devant quelques maisons délabrés, deux échoppes à ciel ouvert et 18 ou 19 marchands d'une drogue qui faisait fureur en ce moment: la qwindich.

À ce qu'il paraissait, cette drogue donnait des hallucinations un peu spéciales, puisqu'on se voyait comme dans un rêve et qu'on pouvait faire tout ce qu'on voulait. Je n'y croyais pas trop, perso.

Continuant ma route, je trouva rapidement mon nids à soûls: il était au croisement entre trois grandes rues, et sa devanture était encore plus miteuse et illisible que celle du bourré du dimanche, ce qui voulait dire que ce ne serait surement pas des enfants de choeurs que j'allais voir...

Je me monta au cas où un plan pour sortir rapidement si les choses tournaient mal.

Une fois mon plan en tête, j'ouvris la porte grinçante du bar, entra à l'intérieur, puis fit le tour du lieu d'un coup d'oeil circulaire.

Je pouvais déjà dire qu'il y avait au moins deux bandes qui se faisait face: les hommes étaient séparés selon une démarcation gauche/droite, le montant du bar faisant face à l'entrée pour milieu, dans le fond. La tension palpable mettait les nerfs à rude épreuve, et je n'avait guère le temps de faire mumuse avec les deux.

Je marcha d'un pas lent vers le bar, jaugeant les ennemis qui s'affrontaient du regard. Je restais assez calme et posé, mais je ne doutais pas que je ferais des victimes si on en venait aux mains, et je préférais tuer dans l'ombre, pas en plein jour.

Je me posa, attirant l'oeil du restaurateur, et continuais à guetter derrière moi un problème imminent.

L'homme qui parla derrière le montant était ventripotent en plus de vieux, et ses traits paraissait tirés par la fatigue.

Restaurateur: "d'un ton las" Salut mon gars. Je te sers quoi?

Saigai: "la voix la plus silencieuse possible" Je suis ici pour des infos.

Restaurateur: Pour les infos, adressez vous aux chefs de gangs, ce sera plus simple. Vous êtes un nouveau, par ici? Vous paraissez facilement crevable...

Saigai: Les apparences sont parfois trompeuses.

J'entendis alors deux chuchotements, un de chaque côté. Mon élimination ne tarderait sans doute guère, alors je devait m'éclipser sans vagues.

Je me leva, me dirigea vers la sortie, lorsque deux hommes me firent face:

Gidus: "le visage souriant" Bonjour! Ce serait donc pour des infos?

Bokoro: "la main sur un poignard" nous pouvons t'aider?

Sans même leur prêter attention, les yeux regardant droit devant, je bouscula les deux mètres 80 qu'ils faisaient, et ils me retinrent.

Je poussa un petit râle d'exaspération, leur planta les petits poignards de roches que j'avais prévu au cas où dans les bras, et continua ma route, l'air de rien. Ils se retournèrent, les deux bras ensanglantés, et me regardèrent les yeux emplies de haine et de rage.

Des chuchotements traversèrent la salle, et les mots que certains s'échangeaient m'étaient audible...

Fou furieux...

Ne tiens pas à la vie...

À creusé sa tombe...

Mais ils me prennent pour quoi? Un gamin de CP?!

Je fit une poussée vers l'arrière, car, m'étant retourné, j'avais la porte dans le dos. Je la poussa d'un coup d'épaule, les deux hommes ayant appelé chacun quelqu'un derrière eux et me poursuivant.

Le cas parfait.

Toujours à l'aide de mes poussées, je m'éloigna du restaurant, tourna dans une ruelle, puis m'incrusta dans un mur afin de me dissimuler.

Lorsqu'ils arrivèrent dans la rue, nul âme qui vive. Seulement une rue vide, et 4 brutes désorientés.

Toujours sous l'épaisseur du mur, je projeta un morceau horizontal du mur contre l'homme de main de "joli-coeur", ce qui l'entrava contre le mur opposé, et toujours dans le mur, j'apparût derrière l'autre homme de main et lui coupa à l'aide de mon sabre les tendons des genoux, suite à quoi il s'affala à terre, parfaitement conscient de sa douleur, incapable de se relever.

Les deux hommes restants se retournèrent, surpris.

Saigai: "pointant son sabre vers eux, un petit sourire sombre sur le visage" Je vais être très direct: savez vous qui a tué les mages de Blood legacy il y a deux jours?

Gidus: l'air tendu" Oui, mais tu peux toujours crever pour qu'on te le dise. "retrouvant son assurance" De toute façon tu vas crever ici, sale raclure. Alors je n'ai aucun ordre à recevoir et encore moins l'envie de te dire quoi que ce soit! Ha!

Et il se rua sur moi.

C'est là que je ne regrettais pas d'être entrainé au pire, et je m'auto-remerciais d'avoir repris l'entrainement récemment. Mon épée lui ouvrit la main d'un coup verticale alors qu'il la tendait vers moi pour m'attraper, et elle suivit le tracé de son bras avant de se planter dans son épaule et vriller comme une toupie destructrice.

Je réduisis ses muscles en charpie, et lui s'arrêta net, le visage décomposé, presque tordu. L'idée lui traversa d'utiliser son autre bras, mais je mis un quart de tour supplémentaire à mon sabre, lui détruisant à jamais les tendons de l'épaule.

La douleur le mit à genoux, et il se montra tout de suite beaucoup plus coopératif:

Gidus: "La voix faible et tremblante, pointant son pouce valide derrière lui" les hommes qui ont tué les membres de ta guilde sont les siens... Je n'y suis pour rien...

Bokoro: Tss... Sale traitre... Tu étais pourtant là...

Saigai: "Intrigué" qui était présent? Je veux des noms.

Gidus: "les larmes aux yeux" Si tu me libères, je te les donnerais... Je te le jure...

Je garda ensuite le silence quelques secondes. Cela valait-il le coup de le libérer, maintenant que je savais qu'il était dans l'affaire et qu'il tenterait surement de me tuer?

La réponse fût quasi-instantané: non.

Je retira donc mon épée, posa la pointe de celle ci sur son front trempé, et chuchota:

Saigai: Coupable...

Et je poussa la lame, transperçant chairs et os.

Son subordonné hurla, entravé contre le mur. Il se débattit, et j'en eu rapidement mon content. Je le libéra, le faisant tomber lamentablement à terre.

M'approchant de lui, je posa de nouveau mon épée sur son crâne, mais cette fois ci, ce fût moins simple.

Il se releva sèchement, et, posé sur ses pieds, m'envoya un violent coup de poing au visage.

J'esquiva à la dernière seconde, puis tira son bras pour que l'élan l'emporte à nouveau.

Il s'affala de nouveau, les deux autres hommes abasourdis par ce qui se déroulait.

Je lui planta mon sabre successivement dans les genoux et dans les bras, le clouant au sol.

Plus d'articulations, plus de rébellion...

Je posa à nouveau mon sabre pour la troisième fois, et posa une question avant le jugement de l'homme:

Saigai: "Froidement"Combien étiez vous?

Deffig: "Rageant contre lui-même et moi, mais obéissant" Quatre: tu as déjà tué le premier, et les trois autres, ce sont nous trois. Crétin de Bokoro! Je t'avais dit que les tuer apporterait des ennuis à nos deux camps!! Mais vous ne m'avez p...

Il ne finit jamais ses paroles, la tête transpercé d'un sabre.

Je le retira, donna un coup dans le vide pour l'ôter de son sang, et le pointa sur le dernier homme pouvant se battre.

Il fit un pas en arrière, puis un autre, et encore un autre, tandis que j'avançais vers lui, le visage sans le moindre remord.

Il toucha le mur, puis se retourna pour voir ce que c'était. Quand il me fit de nouveau face, ma lame était prête à le juger. Il écarquilla les yeux, se plaqua contre le mur, et je m'approcha une nouvelle fois, scellant son destin.

Je transperça de nouveau une tête remplie de vices, et je me retourna, pointant le dernier survivant qui à présent attendait à terre.

Cependant, j'avais encore une ou deux questions...

Saigai: "calmement, posant son sabre sur son épaule après l'avoir essuyé sur les vieux habits du mort" Pourquoi étiez vous ennemis?

Frano: "des spasmes lui couvrant le corps" ta gueule.

Au vue de cette réponse, je m'avança vers lui, lui prit le poignet, et lui fit une longue et douloureuse entaille sur toute la longueur de son bras, tout ceci contre sa volonté.

Saigai: "sèchement"tu es mon otage. Tu seras le seul qui survivra plus de trente secondes face à moi. Si tu ne veux pas trop souffrir, parle.

Frano: "se protégeant de la perte de sang au maximum" espèce de...

Saigai: "levant mon sabre face à lui" L'autre bras, peut-être?

Frano: non, j'ai compris, enfoiré...

Je laissa pointer mon sabre vers le sol, mais ne le rangea toutefois pas: il s'avérait, après moult meurtres, que garder une arme pouvait aider à survivre.

Frano: Nos deux gangs sont des... Pardon, étaient des gangs de dealeurs. Nous nous occupions du trafic d'une drogue nommé qwindich, et les mages de ta guilde étaient de gros consommateurs. Ils ont empruntés dans nos deux gangs, et se sont retrouvés dos au mur assez vite. Du coup, on les a amenés à un bar, on les a bourrés, puis on les a liquidés. Ses salopards avaient déjà deux mois d'impayés...

Saigai: "Habillé d'un sourire satisfait" Bien! Et maintenant, ma dernière question: qui a assisté au meurtre de ses mages?

Frano: Ce débile de Deffig t'as déjà tout dit: on règle les grands problèmes avec de grandes solutions. Seulement nous quatre.

Saigai: "redressant son bras armé" parfait. Je te souhaite donc de mourir heureux.

Frano: "Abasourdi"Quoi?! Mais qu'est ce que...

Et j'acheva le dernier survivant d'un coup d'estoc sec et propre. Afin que leur meurtre reste dans cette rue, je rangea mon sabre, mit en route ma magie et enterra plus ou moins proprement les quatre hommes.

Je repartis ensuite vers la guilde, ayant rempli ma mission avec succès. Le sourire aux lèvres, je passa le pas de la porte de la guilde.

Ahh... Quelle belle journée... Rien de tel qu'un bon meurtre pour vous mettre de bonne humeur...

Je passa tout de même par le bureau du maitre pour lui signifier que ma mission était remplie, et qu'un trafic d'une drogue nommé qwindich prenait de l'ampleur dans la ville. Il me congédia, et je repartis vers ma chambre afin de me reposer un peu.

La vie est si belle...
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