Nom : Akikaze, 秋風 (vent d’automne)
Prénom : Kotori, 小鳥 (petit oiseau)
Age : 22 ans
Sexe : M
Groupe : Amnésia
Classe : Élémentaire
Magie : Je possède une magie reliée à l’élément de l’air et du vent. À l’aide de mon énergie magique, je peux créer des mouvements d’airs afin de former diverses attaques : bourrasque, lame d’air, tornade, etc. Mais ma spécialité est le Kaze no Katachi, une magie élémentaire qui permet à mon corps de devenir de l’air, lui donnant ainsi une grande légèreté et une rapidité accrue.

Physique : Un homme plein de mystère, voilà qui je suis. Mon visage, ni beau ni laid, est une partie de moi bien particulière, un petit quelque chose de mystérieux qui marque l’esprit de ceux et celles qui posent leur regard sur moi. Bien qu’à première vue commun, mon visage laisse toujours une drôle de sensation amer et d’inconfort quand on le regarde trop longtemps. Il reste ancré dans votre esprit et il vient vous tourmenter, même jusque dans vos rêves. C’est une sensation partagée de peur et d’angoisse, mélangé subtilement avec une impression de sérénité et de quiétude qui vous envahit lorsque vous le regardez, comme si vous contempliez à la fois un démon tout droit sortie des enfers et un ange descendu des cieux. Mon visage est très bien définit, d’une forme plutôt ovale se terminant en une forme plus carré au niveau du menton. Bien au centre on retrouve un petit nez court aux arrêtes fines, presque perdu dans l’étendu de mon grand visage. Sa petite taille contraste avec tous les autres traits de mon visage qui semble tous grossier en comparaison avec cet étroit petit nez. De part et d’autre du monticule olfactif, on retrouve mes yeux. Deux grands yeux en amande qui ont une étrange couleur, d’un vert très clair. Ces yeux vous jetteront sans cesse de furtifs regards chaleureux et accueillant, mais pourtant plein de malice et de mystère. Souvent, je vais vous dévisager d’une bien curieuse expression amicale, mais pourtant qui pourtant laisse transparaître une certaine inquiétude, comme si mon regard tait capable de percevoir en vous tous vos petits secrets. Un peu plus bas sur la partie inférieure de mon visage, vous retrouverez ma grande bouche et ma solide mâchoire, n’affichant la plupart du temps aucune émotion distincte, si ce n’est qu’un petit sourire en coin provocateur une fois de temps à autre. Au-dessus de ma tête, déposée sans grande délicatesse, un peu n’importe comment, on retrouve ma chevelure, ou plutôt ma tignasse. D’un drôle de bleu-gris, mes cheveux sont plutôt courts et mal peigné, de petites mèches folles partant dans toutes les directions. Sur mon menton, vous trouverez une petite barbiche de la même couleur que mes cheveux, me donnant ainsi vaguement l’impression de posséder une certaine maturité. Attardons-nous maintenant au reste de mon corps. Après avoir quitté mon visage envoutant des yeux, vous tomberez immédiatement sur mon cou relativement musclé, malgré sa petite taille. Ce dernier se termine au contact de mes deux grandes épaules, pas très larges, mais carrées et musclées, symboles d’une dévotion totale à l’entretient de mon corps et de mon esprit via mes nombreux entraînements. Mon buste, pour ceux qui auront la chance de le regarder, est probablement la chose la plus impressionnante chez moi après son visage. Bien que je ne ressemble en rien à un mastodonte ou à un colosse, on peut remarquer que mon ventre et mes pectoraux, malgré leur taille modeste, ont l’air d’avoir été sculptés à même le roque. Mes pectoraux sont fermes, mais pas trop gonflés ce qui me permet tout de même de rester souple et discret. Vous auriez beau me fixer et me scruter du regard pendant plusieurs heures, il vous serait tout à fait impossible de trouver le moindre petit bourrelet de graisse. En me regardant, on peut tout de suite déduire que je m’entraîne beaucoup. Vous voyez, pour moi devenir un mage d’exception ne passe pas uniquement par l’apprentissage de sortilège. Pour pouvoir combattre efficacement, mon corps se doit d’être tout aussi entraîné que mon esprit. Plus mon corps sera endurant, plus mon corps sera capable de soutenir mes efforts magiques. De chaque côté de mon corps tombent deux longs bras aux biceps et triceps travaillés et endurcies par l’entraînement. En plus de posséder une bonne musculature, j’ai développé une très bonne endurance cardio-vasculaire. Je serais donc capable d’accomplir des tâches pénibles durant de nombreuses heures sans me fatiguer, alors que la moyenne des gens en serait incapable. Malgré tous ces muscles, je ne possède pas une force extraordinaire. Je préfère davantage travailler en agilité et en souplesse. Pour terminer la petite visite guidée de mon corps, nous atteignons finalement mes jambes qui, comme deux grandes tiges de fer, très flexibles, mais pourtant très solide, soutiennent mon corps sans flancher. Me hissant à près d’un mètre quatre-vingt de hauteur, mes deux jambes aux cuisses solides et aux mollets de fer me permettent d’atteindre une bonne vitesse et de courir bien longtemps. Jumelé à ma magie du vent, elles font de moi l’un des hommes les plus rapides.


Caractère : Dès que l’on jette ne serait-ce qu’un regard sur ma personne, on peut tout de suite deviner à quel point je suis enveloppé par une multitude de mystères. Lorsqu’on me regarde, on peut tout de suite deviner à quel point je suis un être étrange et terriblement tourmenté. Il est très facile d’affirmer, sans peur de se tromper, que je suis un homme pourvu d’un nombre très limité de qualités, mais pourtant qui possède une montagne de défauts. Commençons par ce qui sera le plus facile à décrire, mais aussi ce qui sera le plus court, les qualités. Je suis un jeune homme pointilleux, doté d’une intelligence et d’une capacité d’analyse qui pourrait en faire rougir plus d’un. Dans tout ce que j’entreprends, je me dévoue corps et âme jusqu’à l’accomplissement de ma tâche, même si elle est d’une ampleur titanesque. C’est cette détermination qui me pousse à ne jamais renoncer et à toujours vouloir dépasser les limites de l’imaginable. Certains pourraient même aller jusqu’à dire qu’il s’agit de zèle, puisque dans de nombreuses situations, cette détermination et mon désir profond d’accomplissement me poussent à mettre ma vie en danger. N’allez pas croire que je suis le genre de mage à foncer tête baissée sans me soucier des conséquences, bien au contraire, je laisse se trait de caractère au gens de Fairy Tail. Je probablement le combattant le plus calculateur, manipulateur et prévoyant qui existe. Avant d’entreprendre la moindre action ou de me lancer dans un affrontement, je pense à chaque possibilité qui s’offre à moi et surtout aux risques encourus. Comme mon ultime rêve est de devenir l’un des dix mages saints, je tente le plus possible d’éviter les altercations sans but et les situations inutilement dangereuses qui pourraient compromettre mon si grand rêve. Une autre de mes qualités principales est mon entrain. Même si je peux parfois avoir l’air froid et renfermé, dès qu’on apprend à me connaître véritablement, je tronquerai mon expression maussade pour un grand sourire. En passant plus de quelques heures avec moi, on a souvent l’impression d’être en présence d’un bipolaire. Tantôt je vous glacerai le sang avec mon regard sinistre et mes manières hautaines, mais l’instant suivant mon sourire niais me donnera l’air d’un gamin. Ayant été élevé dans un milieu de noblesse et de bourgeoisie, j’y ai hérité un certains nombres de traits essentiels de ma personnalité. Parmi ces traits, on retrouve entre autre un sens de l’honneur exemplaire, une grande politesse et un goût particulièrement riche pour les bonnes manières. Du côté de mes défauts, on pourrait dire que je suis un homme habité par le péché. Le premier péché qui m’habite est l’orgueil. Je garde une très bonne mémoire de tous ceux qui m’ont contrarié. Si jamais vous osez me marcher sur les pieds une seule fois, il est fort à parier que je vous en voudrai pour très longtemps. Plusieurs personnes ont tendance à croire qu’une personne aussi sympathique et réfléchit que moi finira par oublier, mais détrompez-vous. Je ne suis pas du genre à oublier un visage qui m’a offensé. Si j’ai une dent contre vous, se sera jusqu’à votre mort. Second du septuor des péchés, l’avarice est l’un des plus importants péchés que je cultive. Ici, il faut noter que je ne parle pas d’avarice au sens de l’accumulation et de la convoitise de richesse. Dans mon cas, il faut plutôt dire que je suis avare de puissance. Toute ma vie, j’ai poursuivi une sorte de quête spirituelle dans le but d’amasser le plus de puissance possible afin d’un jour réaliser mon rêve, de devenir le plus grand mage qui soit. Certains diront que je suis le seul à vouloir réaliser cet acte, mais croire que cela est suffisant pour me décourager est bien mal me connaitre. Plus on me répétera que mon rêve est impossible, plus je voudrai me dépasser et plus je ferai d’effort pour un jour l’atteindre.

Histoire : Mon histoire débute comme toutes les autres, pardonnez mon manque flagrant d’originalité, par un rideau qui se lève, une scène qu’on découvre, et par quatre mots bien simples; « Il était une fois… » Avant de vous parler de mon cheminement, de l’histoire de ma vie et tout ce qui a pu l’influencer, je dois commencer par le commencement en vous parlant de ma famille et de mes origines. Le rideau se lève donc pour la première fois lors de ma naissance. Derrière ce rideau, on retrouve la première scène de mon existence : une région reculée du royaume de Fiore, sous un décor automnale. Les feuilles des arbres ont pris leur couleur orangée et rougeâtre depuis bien longtemps déjà et elles commencent même à tomber. Un souffle froid, annonciateur d’hiver, balais la campagne, forçant les habitants de la région à se réfugier à l’intérieur, auprès du feu. C’est là que je suis né, dans un petit village au pied d’une montagne. Ce village s’appelle Diamond Mountain. Cet endroit n’a plus la réputation qu’il avait autrefois, son histoire a été oubliée au fil des années par les grandes instances de ce monde. Mais il n’y a pas si longtemps, environ une quinzaine d’années avant ma naissance, ce village était l’un des centres économiques les plus importants de la région. Grâce à l’exploitation minière des richesses de la montagne, le village était devenu une source de revenu importante pour le gouvernement. Afin de protéger les habitants d’éventuel brigands (et pour garder la main mise sur l’extraction des minerais), une division des Chevaliers Runiques y avait installé une base militaire. À la tête du contingent se trouvait le Akira Akikaze, mon père.

Dans les premières années de son service à Diamond Mountain, il rencontra Rukia Sonoka, ma mère. Je vous épargne les détails et la romance à l’eau de rose, mais une chose en entrainant une autre, ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants. Quatre pour être précis. Il y eut d’abord mon grand-frère Kaito. Il était le portrait tout craché de mon père et il était sa plus grande fierté. En grandissant, il devint tout ce que mon père pouvait espérer et une grande carrière militaire l’attendait assurément. Deux années après la naissance de Kaito, mes parents eurent une petite fille, Sakura. Complètement à l’opposé de mon frère, elle était le sosie de ma mère. Un véritable petit ange que mes parents disaient. Puis, quelques années plus tard, il y eut moi, le petit troisième. Finalement, trois ans après ma naissance, mon petit frère Saiki fit son apparition. Nous étions le portrait idéal de la famille parfaite (enfin, presque…). Akira avait son fils prodige pour continuer la tradition familiale, ma mère avait quatre beaux enfants en santé. Moi j’étais l’enfant du milieu, celui qui cherchait constamment l’attention de son père. Depuis ma tendre enfance, j’ai toujours vécu dans un milieu aisé. Mon père étant un lieutenant important chez les Chevaliers Runiques, notre sécurité était donc assurée en permanence. Et la famille Sonoka faisait partie de la noblesse de Fiore, dirigeant cette région reculée du monde et supervisant l’exploitation minière du village. Très jeune, je reçus donc à la fois une éducation militaire et une éducation plus formelle, m’enseignant les sciences, l’histoire et les bonnes manières. Mais ce qui me fascinait par-dessus tout, c’était la magie. Constamment, je demandais à mon père de me montrer quelques tours de passe-passe pour m’amuser, m’émerveiller. Bien qu’à l’époque encore beaucoup trop jeune pour pouvoir apprendre la magie, je savais qu’un jour mon rêve était de succéder à mon père dans l’ordre des Chevaliers Runiques.

Cependant, à l’aube de mon adolescence, un bouleversement survint. Voyez-vous, mon frère ainé était un véritable petit génie. Seulement âgé de trois années de plus que moi, il avait déjà réussi à maîtriser de puissants sortilèges et à faire son entré chez les cadets de l’Ordre des Chevaliers Runiques. Aussitôt son rang obtenu, il fut affecté à une division et il commença son travail de protecteur du peuple. Je me souviendrai toujours du moment de son départ…Son sac de voyage en main, son nouvel uniforme sur le dos, il se tenait dans le hall d’entrée de notre manoir, les yeux pleins d’eau à l’idée de nous quitter pour une si longue période de temps. Jaloux, je n’avais même pas pris la peine de descendre pour lui faire mes adieux, je m’étais contenté de lui envoyer un signe de main du haut de l’escalier sans vraiment le regarder. Si seulement j’avais su à l’époque que c’était la dernière fois que je le verrais les choses se seraient passées autrement…Le grand-frère parti, j’étais maintenant le centre du monde pour mon père. Il commença à s’intéresser davantage à moi et à porter une attention particulière à mon entraînement magique. Finalement, après tant d’années, les choses se déroulaient bien pour moi. Jusqu’au jour où nous avons reçu la nouvelle. Deux officiers runiques s’étaient présenté à notre porte un soir d’hiver, une expression placide sur le visage, le regard vide. Kaito était mort…Son escouade avait été envoyé pour enquêter sur les agissements d’une guilde noire et ils avaient tous été décimés. Complètement ravagé par la nouvelle, c’est la famille toute entière qui écopa. Mon père se rendit devant le Conseil des Mages pour réquisitionner des troupes afin d’obtenir vengeance en anéantissant la guilde noire, mais ils refusèrent d’obtempérer. Après l’attaque, les mages noires s’étaient volatilisés, et tenter de les retrouver seraient un gaspillage inutile des ressources du conseil. En colère, mon père avait renoncé à son titre de Chevalier Runique pour partir lui-même à la recherche de cette mystérieuse guilde. Il nous abandonna ma mère, Sakura, Saiki et moi. Avant de partir, il me confia une tâche, celle de perfectionner ma magie, puisqu’un jour, lorsque je serais prêt, il reviendrait me chercher.

Les années passèrent et je n’entendis plus parler de mon paternel. Difficilement, nous reprîmes tous une vie simili-normale. Le choc d’avoir perdu à la fois son fils et son mari bouleversa ma mère, si bien qu’elle tomba dans une profonde dépression qui la cloua au lit. C’est ma sœur qui dû prendre le relais pour s’occuper de mon petit frère et moi. Pendant ce temps, j’avais écouté les conseils de mon père. Dans sa bibliothèque personnelle, j’avais mis la main sur un ouvrage expliquant les notions de la magie élémentaire. Après m’être essayé sur les quatre éléments primaires, je décidai de porter mon choix sur l’air : l’élément le plus noble et le plus gracieux, l’élément de la liberté. Jour après jour je m’entraînais pour perfectionner ma maîtrise, pour devenir de plus en plus puissant. Jusqu’au jour où mon père revint à la maison. Complètement transformé par ses années loin de nous, il n’était plus que l’ombre de lui-même. Il n’avait plus rien du noble Chevalier Runique qu’il était autrefois, il était devenu un vagabond désespéré. Pendant ses recherches, il avait trouvé quelque chose d’inquiétant : jamais l’escouade de Kaito n’avait été envoyé pour enquêter sur les agissements d’une guilde noire. Le conseil des mages lui avaient donc dissimulé la vérité. Pourquoi? Il ne le savait pas encore. Peu de temps après son arrivé à la maison, un groupe de Chevaliers Runiques fit éruption dans notre demeure, faisant exploser la porte d’entrée à l’aide de projectile magique. Ils immobilisèrent mon père avant de l’arrêter sous prétexte de trahison. Je n’en croyais ni mes yeux ni mes oreilles. Comment pouvaient-ils oser l’enchainer ainsi? Mon père avait servi fidèlement le conseil pendant des années! Je ne pouvais pas les laisser agir de la sorte, quelque chose de pas net se tramait. Nous n’étions plus en sécurité ici à Diamond Mountain, ils nous avaient donc fallu quitter notre demeure familiale. Vagabond et fugitif, nous avons erré jusqu’à trouver un refuge à l’abri du conseil et ses sbires. J’avais mis le reste de la famille en sécurité avant de repartir en quête de la vérité. La clé pour mettre à jour cette supercherie était de trouver l’officier en charge de l’escouade de mon frère, le seul survivant de leur supposé intervention auprès de la guilde noire. Curieusement, ce jeune officier n’était plus de service. Il avait pris sa retraite et il vivait maintenant dans une luxueuse demeure. Je commençais à comprendre ce qui se passait, il était impossible qu’un officier mineur puisse se payer une telle maison avec sa maigre pension de retraite. Il avait probablement été grâcement payé par quelqu’un en échange de son silence. Un soir, après avoir observé ses agissements pendant plusieurs jours, je lui tendis une embuscade pour le forcer à parler. Et c’est là que j’avais tout appris : l’escouade de mon frère n’avait pas été envoyé en mission, il avait été attaqué, sauvagement et gratuitement, par une guilde noire pendant un simple exercice de routine. Et comme cette guilde possédait quelques liens parmi les hauts gradés de l’Ordre des Chevaliers Runiques et au Conseil des Mages, ils avaient simplement payé quelques têtes pour que le conseil tourne le dos sur leur agissement.

Les institutions que j’avais défendues et respectées toute mon existence étaient à l’origine même du malheur de ma famille. J’étais dégouté, je ne pouvais pas accepter cette réalité. Quelqu’un allait devoir payer…Mais qu’est-ce qu’un simple homme comme moi, un mage dont la magie était encore imparfaite, pouvait prétendre faire contre la corruption du Conseil et la puissance des guildes noires? Seul je ne pouvais arriver à rien. Longtemps j’ai pensé rejoindre une guilde pour me trouver des alliés, mais les guildes officielles ont les mains liés, elles sont pour la plupart à la botte du conseil…C’est alors que j’ai entendu parler d’une rumeur, sous la forme d’un murmure dans une petite taverne de Norfleet…La rumeur d’une guilde qui n’était pas comme les autres, complètement indépendante du conseil. Cette guilde s’appelait Amnésia, et elle allait devenir ma nouvelle famille.



Age : 22 ans
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